Contemplations voilées
Le petit vert tendre des frondaisons printanières tarde à percer cette année. Jour après jour je guette le moindre déploiement de bourgeons. Il n’y a pas que le vert tendre. Les murs sombres de l’hôpital de Verdun, juste là-bas, qui nomment la souffrance qui s’y cramponne. Le chatoiement, dans l’eau du fleuve, de l’azur ou … Read moreContemplations voilées